Un dirigeant d’entreprise est un facilitateur, un coordonnateur, en quelque sorte un chef d’orchestre de l’organisation et cette fonction lui revient souvent pour des raisons de légitimité technique.
Sauf que lorsqu’on est amené à diriger, on évalue très mal la tâche qui nous attend, aveuglé par le désir d’évolution.
Malgré le poids des responsabilités, il se doit de garder la tête froide, de se maîtriser, et d’avoir du recul sur les situations de façon à prendre les décisions les plus appropriées dans le contexte de l’entreprise.
On n’est pas toujours préparé à cela et la situation nous paraît quelque fois beaucoup trop envahissante pour y faire face avec nos ressources, d’où le sur-stress….
Les occasions de montée de stress sont nombreuses et les facteurs le sont tout autant dans le monde professionnel.
Le stress puise dans notre énergie et sollicite notre organisme s’il n’est pas régulé.
Pourtant le stress est une réponse à la situation interprétée.
Il permet d’adapter un équilibre fonctionnel pour répondre à la situation.
Il se manifeste entre notre évaluation de la situation et l’évaluation de nos ressources en une fraction de seconde.
Il est donc purement chimique, mécanique, propre à chacun et adapté au contexte en fonction de ses schémas mentaux.